Trevor Michael Brown et le réalisateur Uga Carlini à propos du long métrage Angeliena
Angelienasuit les aventures et la découverte de soi de son héroïne éponyme (jouée par Euodia Samson), une adorable gardienne de parking qui nourrit le rêve de voyager à travers le monde. Le long métrage a été tourné au Cap, en Afrique du Sud, où le directeur de la photographie Trevor Michael Brown s'est associé à Panalux pour son équipement de lumière et à Panavision pour sa caméra et ses optiques.
À travers l’éclairage et le travail de caméra du film, Brown a cherché à faire ressortir la saveur unique offerte par le tournage en Afrique du Sud. Il remarque : « Nous voulions raconter l'histoire de la façon la plus naturelle possible, sans accorder trop d'attention à la caméra et à la lumière, afin de tirer parti de notre environnement - le contraste entre les grands paysages majestueux et les petits espaces intimes qui étaient tout aussi beaux.
« Il était impératif de garder la lumière et la caméra aussi naturels que possible », poursuit Brown, qui a travaillé avec des objectifs Primo pour le projet Il était tentant d'utiliser des filtres et des gadgets d'éclairage et garder la caméra en mouvement, mais nous avons plutôt opté pour l'immobilité et la simplicité, afin de donner aux acteurs la possibilité de laisser leurs personnages s'épanouir. »
La réalisatrice Uga Carlini n'a pas eu besoin de chercher plus loin que l'Afrique du Sud elle-même pour les inspirations visuelles du projet. « L'Afrique du Sud a été ma plus grande inspiration - il suffit de regarder notre drapeau », indique-t-elle. « 'L'arc-en-ciel' est la couleur préférée ici. J'ai aussi beaucoup puisé dans mon amour pour le rétro et le kitsch sud-africains et le pop art sud-africain. Associez cela avec les influences des voyages et comment cela est retravaillé dans la façon dont nous décorons pour faire notre petit endroit sous le soleil - comme Angeliena, notre héroïne.
« Ce film est un hommage à tout ce que j'adore de l’Afrique du Sud – que ce soit l’esprit, l'ambiance, la couleur », ajoute le réalisateur. « Il s’agit de ne pas se cacher derrière des façades filtrées et, au contraire, de célébrer nos imperfections de la meilleure manière. S’il y a une ride, nous l’aimons, nous la montrons, nous - comme dans Trevor - l’éclairons magnifiquement. Des macro moments plutôt qu'une fuite. Des pauses prolongées pour laisser pénétrer le message. Ce look est axé sur l'amour de soi. Célébrez les imperfections. »